Je vais vite, je m'entraîne à ne pas perdre une seconde...
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Le genre de pauses qui vous permettent en un temps record de recharger les batteries du lapin duracell, de remettre de l'ordre dans vos idées, et au passage de vous fendre la poire en bonne compagnie.
Idéal.
Et tout à coup, au détour d'un blind test ou d'un "on refait le clip", ces paroles de Lorie qui surgissent des tréfonds de la pléiade/playlist:
"Que 24 heures, c'est trop court dans ma journée,
Et mon bonheur oh je cours après.
Je bouge mon HUM, je conduis la voiture,
La route à prendre je n'en suis pas sûre..."
Mis à part le fait que je n'ai pas de permis de conduire, le fait est que je suis très motivé à me bouger le HUM, comme elle dit, et ce sur tous les fronts.
La procrastination est un mode de vie, certes, mais parfois elle-même a besoin de vacances.
J'en profite donc pour abattre à la hache les corvées de bois, je fais les sanitaires et le reste (voir Ne riez pas: C'est le nettoyage de printemps) , et même les corvées patate (je pelle à donf).
Et tandis que Canal+ plus m'ouvre le robinet de ses programmes cryptés, pour me donner l'envie de m'abonner, j'en profite pour rattraper le temps perdu à ne pas aller au ciné.
Cette phrase, si elle a l'air incohérente, doit être lue dans un miroir.
Celui de "Alice au pays des Merveilles" de Burton, notamment, qui à défaut de me transporter, me rappelle bien mon appartenance à l'ordre des lagomorphes blancs.
Mes projets avancent donc à pas d'Alice qui aurait manger du special cup cake, bref comme dirait l'autre blonde:
Je vais vite, je m'entraine
A ne pas perdre une seconde,
Je vais vite mais je freine,
Quand je vois que tu tombes,
Je vais vite,
Car je sais, que le chemin est long
Je vais vite,
Tous mes mots, dépassent le mur du son, mur du son, mur du son...
Je vais vite, je m'entraine
A ne pas perdre une seconde,
Je vais vite mais je freine,
Quand je vois que tu tombes,
Je vais vite,
Car je sais, que le chemin est long
Je vais vite,
Tous mes mots, dépassent le mur du son, mur du son, mur du son...
Mais attention à ne pas confondre vitesse et précipitation, donc.
Reste juste à piocher la bonne peluche à la "foire au doudous", histoire que ce bonheur printanier (qui a dit passager?) soit complet.
"Dis oui,
Et tu allumes ma vie,
Mon avion plane..."
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