Il faut bien en passer par là comme chaque année : voici donc un nouvel épisode de cette indescriptible saga.
Et pour tout vous dire j'avais pas envie. Et pour tout vous dire un peu moins encore que l'an passé. Et pour tout vous dire je n'en revenais pas. Seize années plus loin. Je suis toujours là par la grâce de tous les protagonistes de la crèche.
Et tandis qu'un petit Jésus (prénom non confirmé) s'apprête à rentrer dans la famille et à m'affubler du titre de de Grand Oncle, et par la même occasion à me mettre un solide coup de vieux sur le coin du buffet de Noël, je retrousse mes manches et m'attaque à ce bilan de santé / check up amoureux/ préparatifs et autres réjouissances, avec une joie quelque peu dissimulée certes, mais toujours avec la volonté de bien faire...
En voilà encore une qu'on est content de laisser derrière soi, même si 22 ne commence pas exactement dans l'euphorie.
Cela dit, on ne peut pas voir toujours le verre vide: les cinémas, les théâtres, et les salles de concert ont fini par rouvrir, et tout n'est pas à jeter non plus dans cette période de guerre (le mot avait été lâché à la légère au début de la pandémie, mais si on parle strictement du point de vue de l'ambiance, elle est tellement plombée qu'on a effectivement un peu l'impression de marcher sur des douilles)...
Ok, ok, bonnes gens. Par la volonté de la foule en délire, voici un nouvel épisode annuel de cette désormais haletante et palpitante saga (c'est l'âge qui veut ça).
Il faut vous dire qu'on a hésité à l'écrire cette année. Oui, franchement le coeur n'y était pas, si j'ose dire. On sait que depuis trois ans maintenant, la période des fêtes n'est pas dans ma famille à proprement parler la saison préférée.
Mais qu'à cela ne tienne, tel une boule qui ne tient qu'à une épine, tel une guirlande qui clignote uniquement à cause d'un faux contact, il faut bien repartir à la charge, et affronter dindes et dragons (faites bien la liaison), bulles et restrictions, tempêtes et surconsommation...
En juillet, le Flamand Rose fait plumes neuves...
Cette semaine, le Flamand Rose fait plumes neuves en attenant les vacances, il faut se débarrasser des kilos superflus certes, mais surtout des mauvaises habitudes. Car les mauvaises habitudes, ça pèse. Et parfois ça pèse lourd dans la balance...
Voici mes aventures à Paris, Bruxelles, et au pays des merveilles.
Oyez, Oyez! Bonnes gens qui respectez les règlements,
En ce 7 décembre de l'an de grâce 2020, et comme chaque année (même en retard), il est venu le divin moment de suivre un nouvel épisode de cette palpitante et néanmoins parfois consternante saga.
Car bien évidemment, depuis près de douze mois maintenant un invité de marque made in China s'est incrusté à table et dans nos vies, personnage pour beaucoup insaisissable et furtif, et pourtant incontournable et restrictif. Bienvenue donc dans un épisode de la quatorzième dimension...
François Alban de la Broutte- Chevreuse, attaché de presse et responsable de la communication:
Ça y est! On est en passe d'être à nouveau déconfinés. Enfin, d'autres appelleront ça la trêve des confiseurs. Mais comme lors du confinement au printemps dernier, et du premier déconfinement, nous avons reçu beaucoup de courrier, et surtout dans les dernières heures, suite à l'annonce de cette liberté surveillée...
