Les tribulations d'un Flamand un peu gauche échoué sur la rive droite.
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Mars 17, Paris:
Une fois n'est pas coutume: le Flamand Rose n'est pas bavard.
Non pas qu'il soit avare de mots, mais plutôt qu'il ne trouve pas les bons pour décrire un mois à la fois ardu et doux.
Esthétique et frénétique.
Ereintant et trépidant.
Et dans un environnement de plus en plus hostile, qui entame parfois son optimisme de légende, il se tourne vers les mythes, les fresques et les frises, qu'il contemple ou produit, pour ne pas se retrouver face aux murs d'ignorance qui semblent se dresser un peu plus chaque jour, ailleurs, avant ici?
Regarde le Beau, ressens le Bon, réécris le Bien.
Voici donc ce mois-ci un carnet 100% "Le peu de mots, le choix des photos"....