Le Flamand Rose et les écritures du printemps.
Les tribulations d'un belge un peu gauche échoué sur la rive droite.
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Mai 23, Paris:
On dit toujours le joli mois de mai. Mon postérieur, oui. Le Flamand Rose a froid, le bec encombré par une sinusite tenace, il fait gris, bref c'est le moment où, sur les murs, dans les livres, on cherche la chaleur, un dessin de soleil, un rayon de tendresse. Et soudain, vers la fin, la nature revit, et le corps exulte sous les doses de vitamine D tant attendues. Alors ce mois-ci on fait court, commeça on court se mettre au soleil...