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2014-06-02

10 (bonnes) raisons de vivre dans une comédie romantique #1: Le resto.


Jamais un truc carbonisé et une feuille de salade se battant en duel avec une tomate cerise.

Comme on vous le disait hier, Juin 14: Time 2 Dance.
Et s'il y a bien un endroit où ça valse, ça tangotte et shake shake shake, c'est dans les comédies romantiques.
Et franchement ça tombe bien: parce que l'été approchant, la sève et la marée montant, le monde entier va  soudain se transformer en dancefloor torride et en grand carnet de bal.
On y croît...



Voici donc- et pour tout le monde, célibataires ou couples- dix bonnes (premières) raisons de vouloir vivre dans une comédie romantique.

#1: Le resto.

- Si l'hôtesse d'accueil est méchante et vous fait attendre des plombes, on sait déjà  qu'on ne la reverra jamais et qu'elle mourra sûrement seule, pauvre et malheureuse avant d'errer à jamais dans les limbes.
Parce que dans les comédies romantiques, on change généralement de resto à chaque repas.

-  On a toujours la petite table sympa prés de la baie vitrée, jamais on ne bouffe entre une famille de touristes bruyants et les toilettes.

- On peut toujours commander ce qu'on veut. Jamais on entend: le dernier est parti il y a trois secondes.

- On ne voit jamais les prix nulle part.

- On ne revient jamais des toilettes en disant que la famille touriste a visiblement la tourista.

- On a toujours une assiette copieuse et bien dressée. Jamais un truc carbonisé et une feuille de salade se battant en duel avec une tomate cerise.


- On skipe généralement le dessert, ce qui est excellent pour la ligne.

- Si on vous pose un lapin, c'est toujours pour la bonne cause, vous savez que vous aurez droit à des excuses spectaculaires un peu plus tard (genre avec 18 000 figurants qui font un flashmob).


- Le resto est plein et pourtant c'est hyper pratique on s'entend toujours parler.

Et si la musique part, on peut dire plein de conneries, c'est pas grave, personne n'entend il suffit d'éclater de rire toutes les dix secondes.

- Il n'y a jamais de problème d'addition avec le garçon, qui souvent est soit gay, soit d'humeur bisounours.

  Et tradition oblige, il y en a toujours une onzième:

On peut faire valser les assiettes pour s'embrasser sans finir au poste ou sans se faire jeter par la sécurité, vu que le générique de fin est déjà parti.

Et ce n'est que le début, rendez-vous très prochainement pour la suite...




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