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2025-09-22

Fictions Pulpeuses : Neverending Summer 25 (la suite)

 


C'est une maison rose, adossée au club de surf...


Ça y est : l'été est fini. mais pas sur : De Profil.

C'est pas qu'on est contre l'automne, mais on veut profiter au delà du raisonnable des moments estivaux, des histoires à l'eau de rosé, et des  amours de vacances...

Voici donc une nouvelle édition de Fictions Pulpeuses,avec des  histoires (très courtes) à lire au chaud pour prolonger le Neverending Summer.

Et cette année, il est beaucoup question de maillots, de Ricard, et de verbes pronominaux...





Qui ne fait châteaux de sable? 


Retour à Waikiki Beach :

Elle : Warren? 

Lui : Linda?

Linda : C'est dingue de te revoir ici, ça fait tellement longtemps...

Warren : Je t'ai à peine reconnue...Enfin, je veux dire tu es superbe! 

Linda : Merci, toi aussi...Qu'est ce que tu fais là?

Warren : Je viens de divorcer, je suis avec mes enfants en vacances, je me suis dit que c'était sympa de remonter le temps pour leur faire découvrir ma plage de jeunesse. Et toi?

Linda : Moi aussi divorcée mais depuis quatre ans. Je reviens chaque année, ma mère a toujours sa maison. C'est dingue n'empêche de te revoir ici, ça fait tout drôle...

Warren : Oui, c'est bizarre... On avait quel âge? Seize? Dix-sept? 

Linda : Toi dix-sept, moi seize. Faut qu'on retourne boire un verre au Waikiki Beach Club, ce serait trop marrant.

Warren : Ça existe encore? Je me demandais justement.

Linda : Pas certaine qu'ils nous laissent encore rentrer, vu notre âge hahaha!

Warren : Hehehe, ça se tente. Mais sans les enfants alors!

(Rires)

Linda : C'est dingue qu'on se retrouve après toutes ces années, et justement maintenant non? 

Warren : Oui, que de temps perdu!

Linda : Tu te souviens encore de cette soirée? Moi comme si c'était hier!

Warren : Evidemment! Ce premier baiser complètement loupé!

Linda : J'avais bu une bière et j'étais ronde comme une queue de pelle...Quelle honte...

Warren : Bah au moins je t'ai vue tout de suite sous ton plus mauvais jour hahaha!

Linda : Oh, franchement ça me fait très plaisir de te voir...faut que tu me racontes...où étais tu pendant toutes ces années?

Warren : En prison. Non je déconne...

(Rires)

C'est long à raconter, mais faut qu'on se voie absolument un soir avant que je parte. Tes enfants sont là? Tu en as combien?

Linda : Deux, un garçon, une fille. Ils sont avec ma mère là bas. Et toi?

Warren : Trois. Deux garçons, une fille. 

Linda : Waouh. Ils sont où?

Warren : Dans l'eau avec Mitch, mon partenaire.  ils font un château de sable géant. Il faut absolument que je te le présente, il va t'adorer...

Linda : Aaaaah...Ouiii! Avec plaisiiir... Là il faut que je rejoigne ma mère...mais...donne moi ton numéro je t'appelle.

Warren: Tu as de quoi noter?

Linda : Pas sur moi!

(Rires)

Warren : On a loué la maison juste à côté du club de surf, elle est toute rose, tu peux pas la louper. Passe nous faire un coucou quand tu veux avec ta famille!

Linda : Ok, on fait comme ça, bye!

Warren : On s'embrasse, quand même!

Linda et Warren se sont fait la bise. Pas comme quand ils étaient adolescents. Et pas comme Linda s'était prise un instant à l'imaginer. En trois secondes, elle avait vu sa vie défiler, depuis le premier baiser raté, le vomi réussi, son mariage avec Bob, la naissance de ses enfants, la mort de son père, Bob qui la trompe avec la jeune fille au pair, comment elle lui a écrasé sa paire, son divorce, les bouteilles de Chardonay, sa cure, sa renaissance et surtout les vacances, toutes ces vacances passées à scruter la foule sur la plage en cherchant du regard son premier crush de jeunesse, Warren, jeune homme viril et doux à la fois, attentionné, en se disant tant de fois entre deux tests psycho : Et si je le croisais, qu'est ce que je lui dirais?  Et si toutes ces années me menaient à lui? Et si je poussais sur reset en même temps que sur ses pecs à tomber à la renverse dans le sable, et même pas bourrée? 

Elle n'est pas choquée qu'il aime les garçons, même pas étonnée à vrai dire, ils sont toujours plus beaux que les autres se dit-elle. D'ailleurs, à vrai dire il serait avec une femme, l'effet mal de mer serait exactement le même. Savoir qu'il a fait sa vie sans elle. Mais elle a tellement imaginé leur relation, sporadiquement pendant trente ans, elle a construit un fantasme comme on fait des châteaux de sable, grain par grain... Et elle a vu une petite vague de rien du tout balayer cette relation irréelle et même inconsciente.

Elle a un peu hésité à recontacter Warren. À quoi bon? se disait-elle. Elle a fini par faire un détour à la maison rose en rentrant un jour de la plage avec ses enfants. Ils ont dîné tous ensemble. Mitch est un cuisinier hors pair. Cela faisait longtemps que Linda n'avait autant ri pendant une soirée. Ses enfants l'ont fait remarquer au dessert. Linda et Warren s'appellent régulièrement. Ils ont prévu de passer les prochaines vacances tous ensemble. En effet, les enfants on bien accroché. Surtout deux : Celui de dix-sept ans, et celle de seize...







Devoir de vacances.


Le Gendarme de la Baule :

Adjudant Berger : Bon alors cette année c'est très simple : On verbalise au maximum. Les torses nu hors plages, les fumeurs sur la plage, le monokini, les nudistes hors zone et les enfants laissés sans surveillance.

Crochut : On verbalise les enfants, chef?

Adjudant Berger : On verbalise les parents, idiot!

Merlan :Et surtout si ils fument!

Ricard : Et surtout nus! 

Adjudant Berger : Bon on a tous notre tenue réglementaire pour passer inaperçus?

Tous : Oui chef!

Adjudant Berger : On se sépare en deux groupes : Crochut et Picard, vous faites la plage, Merlan et moi on a la tenue pour verbaliser sur la promenade. Si un olibrius allume sa clope avec ne serait-ce qu'un orteil dans le sable, qu'est ce qu'on fait?

Tous : On verbalise!

Adjudant Berger :  Si une femme laisse poindre un centimètre de poitrine en se changeant sur la plage, qu'est ce qu'on fait? 

Tous : On verbalise!

Adjudant Berger : Si un homme remet son t-shirt parce qu'il était à l'envers devant la paillote, qu'est ce qu'on fait?

Tous : On verbalise!

Adjudant Berger :  Je rappelle que nous avons un budget pour financer les tagètes  du monument aux morts à financer.

Merlan : Mais chef, si un textile se balade habillé avec son smartphone en prenant plein de photos sur la zone naturiste, on fait quoi?

Adjudant Berger : Oh! Vous m'emmerdez avec vos questions... Et je vous interdit d'aller sur la zone naturiste, l'année dernière vous y avez passé tout l'été, et vous n'avez rien ramené comme argent!

Merlan : J'y peux rien chef, j'avais rien sur moi pour verbaliser...

Adjudant Berger : Ok, on se dispatche et rendez-vous à 12h30 pour un point sandwich au thon au Mercure.

Crochut : Du thon au mercure, chef, vous êtes sûr? 

Adjudant Berger : Non au Mercure, le bar tabac, idiot. 3,2,1...Go!

Ricard : Chef, attention, fermez bien votre chemise, sinon quoi?

Tous : On verbalise!  (rires)

Le film a fait 156 entrées en salles cet été. Dans la même salle. Le même jour. Pendant un violent orage. Le propriétaire refusait d'abriter les gens s'ils ne payaient pas leur place. Les suites prévues, Le Gendarme et les vapoteuses,le Gendarme au Cap d'Agde et Le Gendarme et les altermondialistes ont été annulées, faute de financement.




Ricard. Rewind. Reset.


Le maillot faible :

Lui : Tu voulais me parler?

Elle : Oui, c'est mon dernier jour, je suis censée rentrer à Paris demain et...

Lui : C'est urgent? Enfin je veux dire, ça va prendre longtemps? Parce que je voulais faire de la barque avec mes potes...

Elle : Oui, enfin, non, ça dépend...

Lui : Et tu voulais me parler en bikini? Parce que mes potes vont arriver et je voudrais pas trop qu'ils te voient comme ça...

Elle : Oui, ça aussi c'est un truc dont je dois te parler...

Lui : Ah, il y a plusieurs trucs en plus?

Elle : Oui, enfin non, surtout un truc.

Lui : Bon, bah vas-y accouche, mon Ricard se réchauffe.

Elle : Bah voilà je pense que toi et moi ça va pas coller. Je pense qu'on devrait arrêter de se voir.

Lui : Quoi? Pourquoi tu dis ça? On est jamais ensemble,  je suis toujours avec mes potes.

Elle : Ben justement...

Lui : Justement quoi? J'ai le droit de faire de la barque avec mes potes, non?

Elle : Oui oui bien sûr, mais je ne suis là que depuis deux jours et tu es tout le temps parti. Tu pars à 11h pour l'apéro et tu reviens rond comme une queue de pelle à 17h pour manger puis tu ressors avec tes potes et tu me laisses toute seule dans la maison de tes parents.

Lui : Toute seule, comme tu y vas... tu as le chien! Je croyais que t'aimais bien les chiens!

Elle : Oui, j'aime bien les chiens, on dirait...

Lui : Je rêve, tu me traites de chien là?

Elle : Non... Enfin bref j'aurais trouvé sympa pour ma dernière journée qu'on fasse un truc ensemble.

Lui : C'est la meilleure! J'y peux rien si tu n'aimes pas faire de la barque! En plus il n'y a plus de place avec mes potes, donc tu vois bien que cette discussion est inutile.

Elle: Oui.... Je vois ça, oui.

Lui :  Donc si tu veux bien, je finis mon Ricard, et toi vas t'habiller avant que mes potes arrivent.  En plus faut que t'ailles faire les courses. Comme ça ça t'occupera... Vous êtes le maillon faible, au revoir.

Elle :  Parfait. Parfait, parfait... Ah oui, juste une dernière question...

Lui : Quoi encore? 

Elle : Tu sais quelle date on est?

Lui : Pourquoi ,c'est ton anniversaire et j'ai oublié?

Elle : Non, non, juste pour savoir...

Lui : Bah, on est le 15 août, pourquoi?

Elle :  De quelle année?

Lui : Bah 2025, pourquoi?

Elle : Pour rien. Je voulais juste vérifier qu'on était plus au vingtième siècle...

Lui : J'ai rien compris, là, euh, je passe...

Il a fini son Ricard, elle est partie se changer. Il est parti en barque. Elle a avancé son train. Elle est partie en train. Celui de 16h 37' . Il est revenu bourré à 17h. Il a juste dit : Bon débarras, de toute façon, elle aimait rien. Il a ajouté: Et merde, il n'y a plus de Ricard! Elle a rencontré un gars dans le train, sièges 47 et 48. Ils se sont donné rendez-vous au Bois de Boulogne ce dimanche. Ils ne feront pas de barque...





Le meilleur ami de l'homme.


Avoir un bon copain (le retour) : 

Et pour finir cet été sans fin, comment ne pas prendre des nouvelles de nos trois mousquetaires qui étaient quatre  et puis qui étaient trois puis quatre  mais pas longtemps. Le jeune Rémi s'est vite marié avec sa douce, laissant ses parrains de drague sur le banc de touche. Ils ont été invités, pour regarder des mecs plus jeunes qu'eux emballer pendant qu'eux regardaient les mariés déballer leur électroménager. 

Cette année, ils devaient partir à trois, mais deux jours avant le départ, un mousquetaire a rasé sa moustache pour partir en amoureux avec sa toute nouvelle Milady de Summer. Une anglaise à jolies boucles qui l'a invité à traverser la manche pour serrer la pince à sa famille dans le Warwickshire.

Un coup de foudre, mais que ses deux copains se sont pris aussi.

Ils sont donc partis à deux, avec quelques rides en plus et quelques cheveux en moins, et le coeur gros que Romain se soit transformé en Roméo.

- Je le revois encore avec son poncho déchiré pendant notre bagarre d'il y a trois ans... s'émeut Richard.

- Oui, bon ça va il est pas mort non plus! s'exclame Roberto.

- On va finir tous les deux vieux célibataires, tu vas voir... s'inquiète Richard.

- Tu ne penses pas qu'on va trouver l'amour, nous aussi? s'interroge Roberto.

- Si on était gays tout serait moins compliqué...  s'insurge Richard.

- Ouais, je sais pas... Je crois que chaque pot a son couvercle, et que je n'ai pas envie d'être ton pot. Ni ton couvercle d'ailleurs ! s'écrie Roberto.

- Pffffff! Franchement, je n'ai rien envie de faire, même pas de picoler... s'ébroue Richard.

- Allez, viens, on va pas rester comme ça plantés comme des planctons! Il fait super beau, on a qu'à aller faire un tour de bateau comme au bon vieux temps, ça nous rappellera les vacances avec Jean-Stéphane! Hihihi! s'esclaffe Roberto.

- Je suis certain que même Jean-Stéphane a trouvé chaussure à son pied... Nous, on va finir comme deux vieux cons! Comme deux vieux pigeons! Comme deux vieux thons! s'obstine Richard.

- Jean-Stéphane? Tu veux rire?! Il doit sûrement vivre entouré de chèvres qui sont les seules à supporter ses bêlements et ses plaintes permanentes (1)! s'emporte Roberto. 

- Jean- Stéphane, où es tu?! J'en peux plus! J'en ai marre! J'envie la terre entière d'être en couple et pas moiiiiiiii! s'égosille Richard. 

Le coup est tombé, la main a claqué, laissant une marque plus visible que celle du maillot.

Roberto est gentil, mais il faut pas l'énerver trop. Mais Roberto, c'est surtout un ami en Oréo (craquant à l'extérieur, fondant dedans). Richard, après la stupéfaction, a d'ailleurs fondu en larmes dans les bras de son poto. 

- Tu es le seul pote que je connaisses qui me frappe pour me faire du bien! s'épanche Richard entre deux sanglots.

-  Je suis surtout le seul pote célibataire qui te reste !  Et s'il n'en reste qu'un je serai celui-là! Celui qui te berce quand tu es amer, celui qui te tient quand tu as le mal de mer, celui qui te tapes quand tu exagères, celui qui te masse quand tu ... Non, faut pas pousser! s'interrompt Roberto.

Les deux amis sur le carreau n'y sont pas resté. Ils ont passé des vacances inoubliables entre surf et piña colada, ricard et fiesta, sieste et vodka.

Par contre, ils sont restés au lit quinze jours au retour, tellement ils n'avaient plus de foie. Ils ont juré qu'on ne les y reprendrait pas.  Et se sont inscrits ensemble à un stage de développement personnel. Il y a plein de jolies filles, en plus.

Romain, lui a passé des vacances de merde avec sa douce  crème anglaise chez ses futurs ex-beaux parents. Il avait l'impression d'être dans un bootcamp pour futur gendre idéal, entre les épreuves de pêche à la carpe, de golf, d'aviron, de cuisine, d'équitation, de jardinage, de bricolage, et même de quizz sur la famille royale d'Angleterre, sur l'Eurovision et sur les romans d'Enid Blyton (2).

Ce sont d'ailleurs ses beaux parents qui ont rompu avec lui par un expéditif : You're fired! 

Il est resté quinze jours au lit en rentrant, à cause du rhume et des courbatures, et aussi un peu de la nourriture. Il s'est inscrit à la salle de sport, pour garder une condition physique et parce qu'il y a de jolies filles. Il a évidemment appelé ses copains, mais ils n'ont pas répondu (ils étaient à leur stage). Il a fini par aller frapper à la porte de Richard, c'est Roberto qui a ouvert. 

- Qu'est ce que tu fous là? Il est ou Richard? s'étonne Romain.

- On vit en collocation maintenant. Enfin, on appelle ça communauté de deux. Il dort chez sa nouvelle copine, et moi je suis tout seuuuuul ! s'effondre Roberto.

Romain l'a pris dans ses bras. Avoir un bon copain , voilà c' qu' il a d'meilleur au monde! dit la chanson...


(1) La vérité n'est pas si loin, sauf que même les chèvres ont déserté le village. Jean-Stéphane les a épuisées, et moi j'ai presque épuisé les verbes pronominaux.

(2) Verbes pronominaux qu'on retrouve beaucoup dans les traductions des romans d'Enid Blyton, à qui on doit le Clan des Sept et évidemment le Club des Cinq.



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