Dansons, joue contre joue...
(Etendard #1: le tango des Incas, collage perso années 90)
Petit point sur la situation avec nos Experts Mayami et autres NCINCAS.
Honnêtement au printemps, on a eu chaud.
Ou plutôt froid.
Froid dans le dos...
Des manifs pour toujours.
Des hommes torse nu mais sans visage.
Des raccourcis moyenâgeux et des slogans nauséabonds.
Des agressions, des intimidations, des dégradations.
Frigide qui, à l'instar de la révolutionnaire Olympe de Gouges, se rend compte qu'elle se fait dépasser par le mouvement qu'elle a enfanté, au point de freiner ses ardeurs de peur qu'elle aussi ne finisse sur l'échafaud.
Et ne perde la tête pour de bon.
Christine , la sans jugeote mais culottée au point de prêcher la haine et de se revendiquer de Gandhi.
Béatrice, une troisième méchante sortie tout droit de Disney, qui félicite et encourage le saccage et les actions coup de poing.
Et au milieu de tout ça: des enfants.
Prions juste que ceux qui se révéleront être homos parmi ceux-ci ne le vivront pas trop mal.
On comprend pourquoi le printemps s'est mis en grève.
Un printemps frigidaire.
Avec en prévision, à l'instar de Tea Party, des Thé Glacés.
Mais on garde l'Ice Tea pêche.
Game of Thornes finit en hécatombe.
On ne compte plus les trahisons, les affaires, il y a de plus en plus de personnages, on ne sait plus qui sont les bons et les méchants, mais on sait que certains sont plus méchants que d'autres.
Un peu comme en politique.
Et je ne parle même pas de ce qui se passe dans le monde (le vrai).
Parce que ça me donne à la fois la nausée et le vertige.
Jenifer fait une déclaration à France.
France déclare la guerre à Jenifer.
Delphine veut devenir Princesse de Belgique.
Elle pourrait arrêter la sculpture, du coup.
Delphine veut devenir Princesse de Belgique.
Elle pourrait arrêter la sculpture, du coup.
Obélix est toujours en Russie et le ciel qui menace de nous tomber sur la tête.
Bernadette est sous-eaux.
Et Charlotte et Pierre se marient demain, me redonnant l'espoir que l'amour existe ici-bas.
Bref, des tourments et des tourmentes, ça valse dans tous les sens, alors qu'on attend avec impatience un bon tango avec tout l'amour et la sensualité qui s'en dégagent.
Dansons, joue contre joue...