(Bruits de feux d'artifice).
Nous y voilà enfin.
Le 1000 ème article: de profil.
Le 1000 ème chapitre d'une histoire a commencé il y a plus de 8 ans.
Sur fond noir et en police trébuchet .
Par Puisque tout le monde en a un...
1000 articles.
C'est peut-être un détail pour vous.
Mais si vous n'en lisez qu'un, lisez celui-ci...
En 2006, on regarde Lost en pensant encore que 4815162342 ça veut dire quelque chose à part en fait, ils sont tous morts.
Oups.
Moi je ne suis pas mort, par contre suis un peu lost.
Alors pour m'évader de ce désert insulaire, je décide de prendre mes doigts en main pour écrire un blog, dont je ne connais guère moi même la définition.
La démarche me paraît alors (et toujours) éminemment impudique, voire narcissique.
Depuis on a pour ça inventé les réseaux sociaux.
En tout cas au départ, puisque je confonds un peu avec journal intime.
Reste donc à susciter l'intérêt ailleurs que sur mon nombril.
D'où le premier titre: Ceci n'est pas un blog.
Qui deviendra plus tard Stéphane Custers: de profil.
L'idée du titre définitif vient bien sûr de l'envie de me montrer sous un autre jour, sous une autre facette, mais surtout de proposer mon regard de biais sur les autres, sur les Us et Coutumes de cette étrange organisation humaine que les colonies de fourmis ont pour coutume d'appeler un sacré bordel.
L'envie aussi de mettre en lumière des talents pas obscurs, parmi mes proches ou pas, en vous présentant leurs modes et travaux, de vous faire partager mes découvertes musicales en boucle, autant que mes interrogations modeuses à l'encontre des Favis (Fashion Victims).
Mes coups de reins cinématographiques et mes coups de nez rageurs.
L'Art de vivre à Paris entre La Guerre des Terrasses et Bienvenue chez les Snobs, autant qu'à Bruxelles, ma belle.
Mon histoire aussi, à travers les Carnets du Flamand Rose, passé entre temps du statut d'homme pressé et marié entre deux Thalys, à celui de Valentin sur le marché mondial du célibat.
Ne riez pas: mes questions sont parfois les vôtres.
Je me suis fait des amis aussi comme Britanny, chanteuse orpheline et milliardaire, L'impayable Famille Colin qu'on évite dans la rue, Batman qui tient son batjournal, ou le Lapin Blanc procrastinateur.
Je vous ai tout dit (ou presque), tout donné et même parfois de l'Exclusif.
J'ai même tenté de vous convertir à la Religion Cathodique.
Alors je vous invite à faire une chose:
Si vous avez, un jour, une heure à perdre, pendant une pluie d'avril ou une nuit trop chaude de juin, faites un petit détour par le nuage de labels qui se trouve au dessus de ma tête.
Choisissez une rubrique (j'aime les mots désuets) qui vous plaît et perdez vous dans mon petit labyrinthe, dans ma petite toile dans la toile, qui regorge de recoins, de passages secrets et de messages codés.
Comme je dis souvent dans mes spectacles: Heureux qui communique, il fait un long voyage...
Ne me reste plus qu'à vous remercier pour votre attention.
1000 mercis à ceux qui ont lu, participé, soutenu, voté, liké, partagé.
1000 mercis aussi à ceux qui m'ont inspiré, et parfois désespéré.
1000 mercis à vous qui êtes de plus en plus nombreux à tomber par hasard sur une page, et à fortiori de revenir de temps en temps y faire un tour.
Si ce blog (dont je ne connais toujours pas la définition réelle) reste une goutte d'eau dans le cyber espace, alors je verserai une larmichette pour qu'elle double encore de volume.
Je vous dis donc à très bientôt pour de nouvelles aventures.
Pourvu qu'elles soient :de profil.
PS: jm'en fous, je reste sur blogspot.
Le 1000 ème article: de profil.
Le 1000 ème chapitre d'une histoire a commencé il y a plus de 8 ans.
Sur fond noir et en police trébuchet .
Par Puisque tout le monde en a un...
1000 articles.
C'est peut-être un détail pour vous.
Mais si vous n'en lisez qu'un, lisez celui-ci...
En 2006, on regarde Lost en pensant encore que 4815162342 ça veut dire quelque chose à part en fait, ils sont tous morts.
Oups.
Moi je ne suis pas mort, par contre suis un peu lost.
Alors pour m'évader de ce désert insulaire, je décide de prendre mes doigts en main pour écrire un blog, dont je ne connais guère moi même la définition.
La démarche me paraît alors (et toujours) éminemment impudique, voire narcissique.
Depuis on a pour ça inventé les réseaux sociaux.
En tout cas au départ, puisque je confonds un peu avec journal intime.
Reste donc à susciter l'intérêt ailleurs que sur mon nombril.
D'où le premier titre: Ceci n'est pas un blog.
Qui deviendra plus tard Stéphane Custers: de profil.
L'idée du titre définitif vient bien sûr de l'envie de me montrer sous un autre jour, sous une autre facette, mais surtout de proposer mon regard de biais sur les autres, sur les Us et Coutumes de cette étrange organisation humaine que les colonies de fourmis ont pour coutume d'appeler un sacré bordel.
L'envie aussi de mettre en lumière des talents pas obscurs, parmi mes proches ou pas, en vous présentant leurs modes et travaux, de vous faire partager mes découvertes musicales en boucle, autant que mes interrogations modeuses à l'encontre des Favis (Fashion Victims).
Mes coups de reins cinématographiques et mes coups de nez rageurs.
L'Art de vivre à Paris entre La Guerre des Terrasses et Bienvenue chez les Snobs, autant qu'à Bruxelles, ma belle.
Mon histoire aussi, à travers les Carnets du Flamand Rose, passé entre temps du statut d'homme pressé et marié entre deux Thalys, à celui de Valentin sur le marché mondial du célibat.
Ne riez pas: mes questions sont parfois les vôtres.
Je me suis fait des amis aussi comme Britanny, chanteuse orpheline et milliardaire, L'impayable Famille Colin qu'on évite dans la rue, Batman qui tient son batjournal, ou le Lapin Blanc procrastinateur.
Je vous ai tout dit (ou presque), tout donné et même parfois de l'Exclusif.
J'ai même tenté de vous convertir à la Religion Cathodique.
Alors je vous invite à faire une chose:
Si vous avez, un jour, une heure à perdre, pendant une pluie d'avril ou une nuit trop chaude de juin, faites un petit détour par le nuage de labels qui se trouve au dessus de ma tête.
Choisissez une rubrique (j'aime les mots désuets) qui vous plaît et perdez vous dans mon petit labyrinthe, dans ma petite toile dans la toile, qui regorge de recoins, de passages secrets et de messages codés.
Comme je dis souvent dans mes spectacles: Heureux qui communique, il fait un long voyage...
Ne me reste plus qu'à vous remercier pour votre attention.
1000 mercis à ceux qui ont lu, participé, soutenu, voté, liké, partagé.
1000 mercis aussi à ceux qui m'ont inspiré, et parfois désespéré.
1000 mercis à vous qui êtes de plus en plus nombreux à tomber par hasard sur une page, et à fortiori de revenir de temps en temps y faire un tour.
Si ce blog (dont je ne connais toujours pas la définition réelle) reste une goutte d'eau dans le cyber espace, alors je verserai une larmichette pour qu'elle double encore de volume.
Je vous dis donc à très bientôt pour de nouvelles aventures.
Pourvu qu'elles soient :de profil.
P1000
PS: jm'en fous, je reste sur blogspot.