Et je repense à toutes mes premières amours...
Souvent quand je cherche de nouvelles chansons, je pense aux hymnes que j'aimerais écouter dans mon casque de chevalier wesc.
Les hymnes à l'amour, parce que c'est la seule qui vaille la peine de se battre.
Et en boucle cette semaine, je vous propose une chanson chinée au hasard sur une muraille de suggestions.
Et la raison pour laquelle j'ai cliqué immédiatement sur celle là et pas une autre, c'est évidemment la présence d'un flamand rose dont moi seul ai les carnets...
Extraite de l'album pré-électrique Post Tropical, cette ballade est entonnée à tue tête et en voix par James Vincent Mc Morrow, qui a la mélancolie d'un ours blanc dont la banquise aurait dérivé sous le tropique du Capricorne (et encore une fois je sais de quoi je parle, j'en suis un).
Dès les premières mesures, il vous soulève le coeur dans le bon sens du terme.
I remember my first love.
I remember my first love.
Et il prend ensuite son envol.
On ne peut pas aimer tout le monde, mais dieu que j'aime ça.
Et je repense à toutes mes premières amours.
Au pluriel, puisque c'est toujours une première.
Et que vous me manquez toujours pareil.
Et que vous me manquez toujours pareil.
Je vais appuyer sur repeat et je vous laisse regarder la video (un peu triste, ne le soyez pas).