L'ange, fût-il noir, vole toujours.
Darkel (probable contraction de dark angel) est le pseudonyme/projet de Jean-Benoît Dunkel, l'une des deux molécules de Air.
Et pour verser dans tous les jeux de mots, cela faisait longtemps qu'on avait plus eu vent du duo.
Oui, si ce n'est que moi, j'écoute toujours religieusement l'anthologique Moon Safari.
Et que j'ai croisé Jean-Benoît il y a peu de temps dans le métro.
Genre: Vous savez, j'ai toujours Sexy Boy sur ma playlist.
Genre, je me suis abstiendu.
Cela ne pouvait pas être un hasard...
The Man Of Sorrow est peut être un one shot, mais de master.
Car les quatre titres noous ramènent à la fois à ce qui nous plaisait dans le duo, mais avec, à chaque morceau, une avancée vers un futur moins noir.
La tristesse (The Man Of Sorrow) affichée jusqu'au visuel clairement inspiré de Game Of Thrones, fait place à la douce mélancolie (True Lover) puis à l'harmonica de l'aube désertique (One Million Of Years) pour finir sur une aurore boréale ou intersidérale (Santanama).
Un voyage express, qui on l'espère augure d'une prochaine "long playing" Odyssée.
Car c'est dans l'air du temps et l'ange , fût il noir, vole toujours...
La video asap.
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