L'arc en ciel annonce l'arrivée du beau temps sur la Croisette.
Si on en croit le Figaro, le festival 2013 affiche "déjà" haut ses couleurs variées: un garçon aime une fille qui aime une fille qui aime un garçon qui aime les garçons. Des garçons qui s'aiment et des filles aussi. Un homme aime un nageur, une ado aime une femme, un énergumène aime son chauffeur...
Et contrairement à ce que dit l'article, il ne s'agît pas là seulement d'une question de calendrier politique ou d'engagement associatif des sélectionneurs.
Le sujet est d'actualité et universel et les films viennent des quatre coins de la sphère bleue.
Pour rappel, c'est la première fois qu'un président des Etats Unis a marqué nommément et clairement son soutien à la cause des homos.
Le cinéma parle depuis toujours d'amour, ne cherchons donc pas la malice "Behind The Candelabra", au bord de l'eau, dans les buissons dorés à l'or fin, ou à l'ombre des palmes.
Laissez donc la cage aux folles à Saint Tropez, Cannes est plutôt la ville d'un certain regard.
Et une vague arc en ciel, c'est toujours mieux qu'une vague de sweat shirts roses.
Pendant ce temps:
-Tom a perdu trois kilos. Il est donc saoul à la première coupe de "champagne" dégottée à la soirée "Bijoux Maty". Il a rencontré un distributeur belge qui est intéressé mais fauché.
Il a frenché hier avec une petite cagole cannoise mais n'a plus de forfait pour la rappeler.
- Ronald s'est endormi dans le placard et à loupé le cliché "win for life". Son occupant a déjà quitté la suite. Réveillé par la femme de chambre, il s'est vu un instant enfermé au pénitencier de Lérins Island.
Changement de tactique donc: il va "attaquer" le yacht de Spielberg.
- Clémence a pu enfin entrer dans une soirée. Manifestement celle du film "Plan B", puisque personne n'y était. Elle a quand même dans sa pochette le numéro d'un directeur de casting de téléréalité, et a décroché une nuit dans un hôtel cannois avec un acteur serbe et gay.
On y revient...
Photo: Michael Douglas et Matt Damon dans Behind The Candelabra (Ma vie avec Liberace).
Et contrairement à ce que dit l'article, il ne s'agît pas là seulement d'une question de calendrier politique ou d'engagement associatif des sélectionneurs.
Le sujet est d'actualité et universel et les films viennent des quatre coins de la sphère bleue.
Pour rappel, c'est la première fois qu'un président des Etats Unis a marqué nommément et clairement son soutien à la cause des homos.
Le cinéma parle depuis toujours d'amour, ne cherchons donc pas la malice "Behind The Candelabra", au bord de l'eau, dans les buissons dorés à l'or fin, ou à l'ombre des palmes.
Laissez donc la cage aux folles à Saint Tropez, Cannes est plutôt la ville d'un certain regard.
Et une vague arc en ciel, c'est toujours mieux qu'une vague de sweat shirts roses.
Pendant ce temps:
-Tom a perdu trois kilos. Il est donc saoul à la première coupe de "champagne" dégottée à la soirée "Bijoux Maty". Il a rencontré un distributeur belge qui est intéressé mais fauché.
Il a frenché hier avec une petite cagole cannoise mais n'a plus de forfait pour la rappeler.
- Ronald s'est endormi dans le placard et à loupé le cliché "win for life". Son occupant a déjà quitté la suite. Réveillé par la femme de chambre, il s'est vu un instant enfermé au pénitencier de Lérins Island.
Changement de tactique donc: il va "attaquer" le yacht de Spielberg.
- Clémence a pu enfin entrer dans une soirée. Manifestement celle du film "Plan B", puisque personne n'y était. Elle a quand même dans sa pochette le numéro d'un directeur de casting de téléréalité, et a décroché une nuit dans un hôtel cannois avec un acteur serbe et gay.
On y revient...
Photo: Michael Douglas et Matt Damon dans Behind The Candelabra (Ma vie avec Liberace).