Abracadabricabrac.
Les modes se font et se défont: ce qui était in hier est out aujourd'hui. Ce qui était à la mode est ringard, ce qui était ringard le reste aujourd'hui, et ce qui était has been hier peut très bien revenir demain. Il en va de même pour les objets, ceux qu'on trouve en brocante, parfois les brocanteurs eux-mêmes et les propos échangés surtout...
Les arguments absurdes:
- C'est des années 70.
- C'est des années 80.
- C'est des années 90.
(oui, je sais, ça va, ne soyez pas désagréable, j'étais déjà né).
- C'est une table roulante.
Moi: Oui, je vois ça.
- C'est un lampion.
Moi: Ah bon?
- C'est combien le livre Monsieur?
- 120, le prix est marqué sur le livre.
Euh, oui Monsieur, mais on dira que c'est le prix du livre neuf en librairie, vous voulez peut-être qu'on vous ré-explique le principe de BROCANTE ?!
- Vous fermez à quelle heure?
- Pourquoi, vous voulez m'aider à remballer?
Entendu une brocanteuse au téléphone:
Oui allo Rachel? Oui, oui il y'a du monde mais bon... 50 centimes.
#peutmieuxfaire
La négociation de sourds:
- Vous en voulez combien?
- 120 euros.
- 50, ça vous va?
#prendsmoipourunequiche
Le coin des bonnes affaires:
Oui je sais c'est flippant.
Emmanuelle aussi a été un enfant.
Gainsbourg est mort une deuxième fois.
La poupée première dame.
Suis, je bête c'était pour sa fille.
La vraie magie de la brocante, c'est que c'est toujours la même chose, mais qu'on reste toujours surpris...
Lire les autres Comme un dimanche.
PS: Suivez moi sur FB, Twitter et Instagram Stéphane Custers.
