On va éviter les cochons dans l'espace...
Tout est dans le titre. Mais attention: cette année on va découvrir la différence capitale entre le singulier et le pluriel. C'est bien l'année du cochon, pas celle des cochons...
Si pour certains natifs du cochon, ou d'autres encore comme le dragon ou le cheval, cette année sera celle de la prospérité, pour d'autres cochons masqués, ce sera l'heure de vérité: certains feront en effet face à leurs juges qui détermineront s'il doivent ou non être lâchés dans la nature.
Année de récolte donc pour certains, de rédemption pour d'autres, et pour le reste, il n'y a pas trente six options, ni même dix neuf: il faudra encore se retrousser les pattes pour aller aux champs, au turbin, à la mine ou au pâturage.
En cette année de cochon de terre, il va falloir encore labourer, donc.
Mais aussi, comme le Flamand Rose (qu'il ne faut pas confondre avec un porc qui vole) survoler les terres, voir un ailleurs, tout en prenant toujours de la hauteur. Se déguiser en renard pour ruser, même si on l'a dit, cette année, sera aussi celle de bas les masques. On va confronter les porcinets et les porcs cyniques.
Loin donc de suggérer une année de débauche hédoniste universelle- on va éviter les cochons dans l'espace- cette année est aussi celle du recul et de la contemplation, du repos et de la régénération, avant le passage (déjà, tu te souviens de 2K?) aux années 2020...
Bonne année les petits cochons!
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