L'an dernier, on a vu défiler des majorettes slaves.
Cette année, les grosses fortunes?
Voilà déjà cinq ans qu'une bande d'énergumènes venus du nord, fêtent (selon la tradition) à date aléatoire le réveillon du nouvel an.
Ce qui aurait pu s'avérer n'être que la dernière bonne blague belge s'est en effet imposé comme un rendez-vous des fêtards exigeants, persuadés qu'il est toujours de bon ton d'écouter du bon son...
De Vive La Fête à Soldout, en passant par Tom Barman, et John Stargasm de Ghinzu , ils sont nombreux à avoir déjà fait le déplacement pour jouer ou "passer des disques", jusqu'au désormais célèbre décompte, et jusqu'à l'aube.
Toute la journée dans Montmartre (mais pas seulement), les rues et les cafés sont envahis par les concerts, les défilés de géants, les performances, les happenings en tout genre.
Et cette année encore il sera fêté dans plusieurs villes (avec décalage garanti des fuseaux horaires): Nantes, Marseille et très logiquement Lille (on peut facilement passer la frontière dans un coffre) sont gagnés par la contagion.
Pour le programme complet des lieux et artistes, le plus simple est de consulter un médecin sur le site officiel du Nouvel An Belge.
On chuchote même qu'on pourrait bien cette fois procéder à quelques naturalisations.
Intéressé, Bernard?
L'édition 2011 (et oui c'est bien moi qui gueule comme un putois des Ardennes)
Le Nouvel An Belge, du 20 au 22/09 2012.
PS: Mon blog participe aux Golden Blog Awards, catégorie culture généraliste.
Merci de voter si le coeur vous en dit.